Je m’appelle Fanny, j’ai 36 ans et je vis à clermont-ferrand. Je suis photographe professionnelle indépendante depuis 2010. Formée à Paris, j’ai d’abord commencé à travailler dans la presse quotidienne régionale, les musées nationaux et le Lido. Je suis revenue en terre natale auvergnate en 2012 où j’ai commencé à travailler avec les particuliers sur la photographie de mariage, de portraits, grossesse, naissance.
Qui suis-je en quelques mots ? Voici mes plus gros traits de caractère et mes valeurs.
Je suis …..
Curieuse
Je m’intéresse à beaucoup de domaines ! De la physique quantique à à la spiritualité, je fais partie de ces gens qui se posent des questions sur tout et qui envisagent que tout est possible. Je suis une accro des vidéos TedX qui donnent une ouverture sur des sujets peu connus.
Sociable
Cela va avec la curiosité ! Je m’intéresse, vraiment, aux gens. Chaque personne est un univers à elle seule, c’est passionnant. J’adore converser avec des gens de tous les horizons.
Franche !..
.. s’il y a bien une chose que je ne supporte pas c’est l’hypocrisie et les faux semblants. Je prône l’affirmation de soi et l’authenticité.
Perfectionniste
Ce n’est pas toujours une qualité, mais je suis très perfectionniste. J’aime que les choses soient bien faites, quitte à y passer trois fois plus de temps. Je me remets en permanence en question sur le plan professionnel et cherche toujours de nouvelles idées.
Empathique
J’arrive facilement à me connecter aux gens, dans la vie personnelle comme professionnelle. Je ressens les émotions de l’autre, décèle intuitivement les mécanismes intérieurs, ce qui me permet de vous mettre à l’aise quand vous êtes derrière l’appareil photo.
Joyeuse
J’ai besoin d’être un climat de confiance et de bonne humeur avec les gens avec qui je travaille. Je suis au travail comme dans ma vie privée, expansive et joyeuse. J’aime rire et faire rire, ne pas me prendre au sérieux.
Ecléctique
J’aime autant :
– Harry Potter que des films d’auteur
– Skrillex que le Requiem de Mozart
– un bon polar comme Grangé à un essai philosophique
Je crois que vous avez compris ! Il n’y a pas pour moi de sous culture, je me fiche complètement des préjugés à la Télérama 🙂